La malédiction des transports

Oui, on a connu des titres plus inspirés...
Et puisqu'on en est aux reproches : non, il n'y aura pas de photo ce soir. Pourquoi ? Ben... parce que !
De toute façon, pour voir les auteur(e)s présent(e)s, le mieux est encore de se déplacer jusqu'à la librairie de Grenade.

Oui mais alors pourquoi ce titre ? demanderont les plus sagaces.

Vous vous souvenez sûrement des errements dans les transports aériens de l'an dernier (clic), l'organisateur ignorant tout de la malédiction "Rollin/Boiscommun" qui veut que tout transport en commun de ces deux dessinateurs connaissent des mésaventures auxquelles personne ne porterait crédit si on les racontait en BD.

Et bien, on remet ça cette année, mais cette fois c'est, semble-t-il, la canicule qui ait eu raison des chemins de fer français !

Une autrice est finalement arrivée, fort tard, épuisée et quasiment dénutrie après un retard qui lui a occasionné une correspondance loupée et donc encore plus de retard avec des trains en plus des trains au ralenti !
Et un auteur a vu lui son voyage repoussé à demain matin !

Evidemment, on pourrait poursuivre l'évocation de ce début de salon par l'accentuation d'une rose qui paraît plaire sous forme liquide à une autrice, l'énigme du 51 enfin résolue et inversée par un gars du sud, une description patelinesque bretonne, entre autres billevesées délirantesques.

Mais, en fait... non ! On va plutôt dormir.